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  • Journée mondiale du Migrant et du Réfugié - Courcelles - 18 et 19 janvier 2014 - Expo sur les migrations
  • Journée mondiale du Migrant et du Réfugié - Courcelles - 18 et 19 janvier 2014 - Partie académique
  • Journée mondiale du Migrant et du Réfugié - Courcelles - 18 et 19 janvier 2014 - Célébration présidée par Mgr Guy Harpigny
  • Journée mondiale du Migrant et du Réfugié - Courcelles - 18 et 19 janvier 2014 - Buffet "Cuisines du monde"

Chers amis,

brochure-pastorale-africaine

Nous avons ce document sur l'interculturalité, un document qui se veut engageant.

Ce document sur l'interculturalité, il me semble, ne devrait pas s'arrêter à sa lecture, ni aux belles intentions mais nous appelle à sa mise en œuvre dans nos paroisses, nos groupes, nos associations, une classe, une école.

Voici un questionnaire à travailler en groupe.

Vos réponses nous aideront à avancer sur cette question d'actualité.

Nous vous remercions pour l'attention que vous accorderez à cette demande, nous vous redisons notre franche collaboration.

 

Claude MUSIMAR,
Pour le Service Pastoral des Migrations
0474 / 38 17 50

docxTélécharger les questions d'échange sur les 10 réflexions  
pdfTélécharger la brochure sur les 10 réflexions pour faire la pastorale africaine aujourd'hui

PROCÉDURE D’ACCUEIL, DIFFÉRENTES AIDES ET MESURES D’ACCOMPAGNEMENT

Les mineurs étrangers non accompagnés (Mena) sont les jeunes d'origine étrangère qui arrivent dans un pays d’accueil sans leurs parents ou représentants légaux. Ils quittent leurs localités d’origine pour rejoindre un pays d’accueil à la recherche de plus de protection sociale et légale, de plus de respect de leurs droits et leur dignité humaine.
En Belgique, les Mena sont signalés et enregistrés au service des tutelles (Service Public Fédéral Justice) qui reçoit également les déclarations du mineur au sujet de son âge et d’autres conditions légales. Pour être enregistré comme mineur étranger non accompagné, le service des tutelles pose quatre conditions : avoir moins de 18 ans, même si la loi du pays d’origine prévoit un autre âge pour la majorité ; ne pas être accompagné par une personne exerçant l’autorité parentale ; venir d’un pays non membre de l’Espace économique européen; et se trouver en Belgique en tant que demandeur d’asile ou sans autorisation de séjour. Cependant, en cas de doute sur l’âge d’un Mena, un triple test médical (une radiographie des dents, de la clavicule et du poignet) est effectué pour déterminer si l’âge déclaré par le Mena est bien inférieur à 18 ans.
Une fois qu’un mineur remplit les quatre conditions exigées par le service des tutelles, ce dernier se charge de son hébergement en contactant l’agence pour l’accueil des demandeurs d’asile (Fedasil). Celui-ci organise l’accueil en trois phases pendant lesquelles l’intérêt du mineur est primordial : l’observation, la stabilisation et l’autonomie accompagnée. Le mineur est accueilli premièrement dans un centre d'orientation et d'observation pour une durée n’excédant pas 30 jours dans les objectifs de l’identifier en esquissant son profil social, médical et psychologique ; lui désigner un tuteur ; déceler les éventuelles vulnérabilités du jeune afin de pouvoir l’orienter vers la structure d’accueil la plus adaptée à ses besoins.
Pour assumer le tutorat d’un mineur, la législation belge pose quelques conditions. Si le candidat tuteur répond aux critères exigés, il est invité à un entretien au service des tutelles pour l’évaluation de sa motivation et de sa capacité à la gestion des problèmes relatifs au Mena. En tant que représentant légal, rattaché au service des tutelles et chargé de veiller au bien-être général du mineur, le tuteur exerce des missions lui assignées par la légalisation belge dans l’objectif de garantir le développement des aptitudes nécessaires à une participation active du mineur à la société d’accueil.
La deuxième phase, dite de stabilisation, le mineur est orienté vers une structure d’accueil collective adaptée où il sera accompagné, en collaboration de Fedasil, par une équipe d’accompagnateurs et d’éducateurs pour le préparer vers plus d’autonomie. Par contre, les Mena de moins de 15 ans ou ceux, qui sont particulièrement vulnérables, sont accueillis par les communautés disposant des logements spécifiques. Il convient de noter qu’une décision d’expulsion ne peut être prise à l’encontre d’un Mena avant son dix-huitième anniversaire de naissance, et ce, indépendamment d’une demande de protection internationale introduite en sa faveur. Mais si, il est déjà reconnu comme réfugié ou s’il obtient un autre statut de séjour, avant ses 18 ans, il a droit à une aide financière de la part d’un CPAS, les allocations familiales, un soutien à la scolarisation et la couverture sanitaire de l’autorité étatique.
En définitive, le sujet de Mena demeure d’actualité en Belgique à cause, non seulement de l’augmentation des signalements mensuels, mais également de leur vulnérabilité et du risque de leur exposition à la traite des êtres humains et aux diverses formes d'exploitation (sexuelle ou économique).

Jean-Claude KAKA (animateur en pastorale)
Abbé Claude MUSIMAR (responsable)

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Le thème de la Journée mondiale du Migrant et du Réfugié 2023 qui sera célébrée le 24 septembre 2023 est publié, c'est : LIBRES DE CHOISIR ENTRE MIGRER OU RESTER

«Libres de choisir entre migrer ou rester»: tel est le thème choisi par le Pape François pour son message à l’occasion de la 109e journée mondiale du migrant et du réfugié, qui sera célébrée le dimanche 24 septembre. L’intention du Pape — explique un communiqué du dicastère pour le service du développement humain intégral rendu public le 21 mars — est de promouvoir une ré-flexion renouvelée sur un droit qui n’est pas encore codifié au niveau international: le droit à ne pas devoir émigrer, c’est-à-dire — en d’autres termes — le droit à pouvoir rester sur sa propre terre.

La nature forcée de nombreux flux migratoires oblige à examiner attentivement les causes des migrations contemporaines. Le droit à rester précède et est plus profond et plus vaste que le droit à émigrer. Il inclut la possibilité de participer au bien commun, le droit à vivre dans la dignité et l’accès au développement durable, autant de droits qui devraient être effectivement garantis dans les pays d’origine à travers un exercice réel de coresponsabilité de la part de la communauté internationale.

Pour favoriser une préparation adéquate à la célébration de cette journée, le dicastère annonce qu’il lancera une campagne de communication visant à favoriser une compréhension approfondie du thème du message à travers des supports multimédia, du matériel d’information et des réflexions théologiques

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